Person Page - 2028

     Helissende (?) married Guillaume I de Garlande Senechal of France, son of Guillaume I de Garlande and Havoise (?).^1,2

      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 113.¹ Helissende (?) was living in 1120.¹

     Guillaume I de Garlande married Havoise (?)^3,1,2

Guillaume I de Garlande died before 1115.⁴
     He was living; GAV-27.

Reference: Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 113.¹

; Per Med Lands: "GUILLAUME [I] de Garlande (-before 1095). Seigneur de Garlande-en-Brie. m HAVOISE, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has not been identified."²

     Havoise (?) married Guillaume I de Garlande.^2,3,4

      ; Per Med Lands: "GUILLAUME [I] de Garlande (-before 1095). Seigneur de Garlande-en-Brie. m HAVOISE, daughter of ---. The primary source which confirms her marriage has not been identified."⁴

; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 113.²

; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 113.¹ GAV-27.

     GAV-25.

; Leo van de Pas cites: 1. The Lineage and Ancestry of H.R.H. Prince Charles, Prince of Wales Edinburgh, 1977., Gerald Paget, Reference: 174
2. The Plantagenet Ancestry Baltimore, 1975. , Lt.Col. W. H. Turton, Reference: 175.¹

     Adelaide de Crecy Dame de Gournay-sur-Marne married Bouchard II (?) Comte de Corbeil
;
Her 1st husband.^2,1 Adelaide de Crecy Dame de Gournay-sur-Marne married Guy II "le Rouge" de Montlhéry Comte de Rochefort-en-Yvelines, son of Guy I 'Troussel' de Montlhéry Seigneur de Monthléry et Chevreuse, Chatelain de Rochefort-en-Yvelines and Hodierne de Gometz-la-Ferté Dame de Bures et de La Ferté-Alais, between 1071 and 1080
;
Her 2nd husband; his 2nd wife.^1,3,4,5
Adelaide de Crecy Dame de Gournay-sur-Marne died after 1104.^3,1
     ; Per Racines et Histoire: "Gui II de Montlhéry “Le Rouge” (Gui 1er de Rochefort) °1037 +1108 seigneur puis comte de Rocheforten-Yvelines (avant 1095), seigneur de Châteaufort, Crécy-en-Bray, Bréthencourt et Gournaysur-Marne, Sénéchal de France (1091-1096 ou 1104/06 ?), croisé (1096, 1101-1104) puis moine
ép. 1) Elisabeth dame de Rochefort (citée en 1059/1067)
ép. 2) ~1080 Adelaïde (Aélis, Elisabeth) de Crécy ° ~1055 + un 12/10 après 1104 comtesse de Corbeil, dame de Crécy-en-Brie (77) et Gournaysur-Marne (93) (veuve de Bouchard II de Montmorency, comte de Corbeil ~1070 +X dès 1078 par EtienneHenri, comte de Blois) (citée dans une charte de donation de terres à Mortcerf par Bouchard en faveur de Saint-Martin de Pontoise - 1080.)⁶" EDV-29.

; Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag, Marburg, Schwennicke, Detlev (Ed.) 3:624.¹

     Bouchard II (?) Comte de Corbeil married Adelaide de Crecy Dame de Gournay-sur-Marne
;
Her 1st husband.^1,2
Bouchard II (?) Comte de Corbeil died before 1101.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: II 79.¹

     Adelaide de Corbeil Heiress of Corbeil married Erard III (?) Sire du Puiset, Vicomte de Chartres, son of Hugues I 'Blavons' (?) Chatelian du Puiset, Vicomte de Chartres and Alix/Adele/Adeline de Montlhéry Dame de Villepreux.³

Adelaide de Corbeil Heiress of Corbeil died after 1126.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: II 79; III 660.¹

     Erard III (?) Sire du Puiset, Vicomte de Chartres married Adelaide de Corbeil Heiress of Corbeil, daughter of Bouchard II (?) Comte de Corbeil and Adelaide de Crecy Dame de Gournay-sur-Marne.¹

Erard III (?) Sire du Puiset, Vicomte de Chartres died on 21 August 1099 at Palestine; killed in battle.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: III 660.¹

     Melisende dite Caravicina de Montlhéry married Ponce/Pons I de Traînel Seigneur de Pont-sur-Seine, son of Déodat de Traînel.^7,2,8,5

     EDV-27.

; Per Racines et Histoire (Montlhéry, p. 3): "Milesende de Montlhéry «Cherevoisine» + un 27/06
     ép. Pons de Traînel, seigneur de Pontsur-Seine"
Per Racines et Histoire (Traînel, p. 2): "Pons (ou Ponce) 1er de Traînel ° ~1030 + après 06/1079 seigneur de Pont-sur-Seine (érigé en châtellenie avant 1170) (don 06/1079 à l’Abbaye de Cormery l’église Saint-Gervais des Tables de Traînel (Aube) pour la fondation d’un Prieuré)
     ép. ~1055 Mélisende de Monthléry dite «La Jeune» ou «Chère Voisine» (Caravicina) ° ~1040/42 + un 27/06 après 1086 (fille de Gui 1er «Troussel» et d’Hodierne de Gometz.)^9,10"

; Per Med Lands:
     "MELISENDE "Bona-vecina/Caravecina" (-27 Jun ----). The Historia of Monk Aimon names "Milonem de Brayo et Guidonem Rubeum, Comitissam quoque Reiteste, et Bonam-vecinam de Pontibus, Elizabeth etiam uxorem Joscelini de Corteciniaco, insuper dominam de Puisat, et dominam de S. Galerico" as the children of "Guidonem" and his wife[942]. "Ponce dominus Pontis castri" donated the church of Stabulis to Cormery, with the consent of "son épouse Caravicina et leurs enfants Anseu, Garnier et le troisième Philippe, qui s’appelle aussi Milon", by charter dated Jun 1079[943]. "Domnus Milo" confirmed the donation of "terram de Ver" to Notre-Dame de Longpont by "Milesendis cognomento Caravicina", by charter dated to [1095][944].
     "m PONS de Traînel Seigneur de Pont-sur-Seine, son of ---."
Med Lands cites:

Reference: Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 155.⁸

; Per Med Lands:
     "PONS de Traînel (-after Jun 1079). Seigneur de Pont-sur-Seine. "Ponce dominus Pontis castri" donated the church of Stabulis to Cormery, with the consent of "son épouse Caravicina et leurs enfants Anseu, Garnier et le troisième Philippe, qui s’appelle aussi Milon", by charter dated Jun 1079[375].
     "m MELISENDE de Montlhéry "Bona-vecina/Caravecina", daughter of GUY "le Grand" Seigneur de Montlhéry & his wife Hodierne de Gometz-la-Ferté (-27 Jun ----). The Historia of Monk Aimon names "Milonem de Brayo et Guidonem Rubeum, Comitissam quoque Reiteste, et Bonam-vecinam de Pontibus, Elizabeth etiam uxorem Joscelini de Corteciniaco, insuper dominam de Puisat, et dominam de S. Galerico" as the children of "Guidonem" and his wife[376]. "Ponce dominus Pontis castri" donated the church of Stabulis to Cormery, with the consent of "son épouse Caravicina et leurs enfants Anseu, Garnier et le troisième Philippe, qui s’appelle aussi Milon", by charter dated Jun 1079[377]. "Domnus Milo" confirmed the donation of "terram de Ver" to Notre-Dame de Longpont by "Milesendis cognomento Caravicina", by charter dated to [1095][378]."
Med Lands cites: Melisende dite Caravicina de Montlhéry was living in 1079.¹

     Ponce/Pons I de Traînel Seigneur de Pont-sur-Seine married Melisende dite Caravicina de Montlhéry, daughter of Guy I 'Troussel' de Montlhéry Seigneur de Monthléry et Chevreuse, Chatelain de Rochefort-en-Yvelines and Hodierne de Gometz-la-Ferté Dame de Bures et de La Ferté-Alais.^1,2,6,7

Ponce/Pons I de Traînel Seigneur de Pont-sur-Seine died after June 1079.⁴
     Reference: Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 155.⁶

; Per Med Lands:
     "MELISENDE "Bona-vecina/Caravecina" (-27 Jun ----). The Historia of Monk Aimon names "Milonem de Brayo et Guidonem Rubeum, Comitissam quoque Reiteste, et Bonam-vecinam de Pontibus, Elizabeth etiam uxorem Joscelini de Corteciniaco, insuper dominam de Puisat, et dominam de S. Galerico" as the children of "Guidonem" and his wife[942]. "Ponce dominus Pontis castri" donated the church of Stabulis to Cormery, with the consent of "son épouse Caravicina et leurs enfants Anseu, Garnier et le troisième Philippe, qui s’appelle aussi Milon", by charter dated Jun 1079[943]. "Domnus Milo" confirmed the donation of "terram de Ver" to Notre-Dame de Longpont by "Milesendis cognomento Caravicina", by charter dated to [1095][944].
     "m PONS de Traînel Seigneur de Pont-sur-Seine, son of ---."
Med Lands cites:

; Per Wikipedia (Fr.):
     "Pons Ier de Traînel ou Ponce Ier Traînel (né vers 1035, † avant 1095), dit l'Ancien est seigneur de Traînel et de Pont-sur-Seine, en Champagne, à la fin du xie siècle. Il est probablement le fils de Déodat de Traînel, premier seigneur connu de Traînel.
Biographie
     "Il est probablement le fils de Déodat de Traînel, premier seigneur de Traînel connu1,2,N 1.
     "En juin 1079, il donne l'église de Saint-Gervais-des-Tables de Traînel à l'abbaye de Cormery, par l'intermédiaire de l’archevêque de Sens Richer, pour y établir un prieuré. Par la même charte, sa femme Caravicina ainsi que ses enfants Anseau, Garnier et Philippe, qui s'appelle aussi Milon, donnent leur consentement à cette donation3,4,5.
     "Vers 1086, Pons et sa femme Caravicina font don au prieuré de Longpont de l'obédience de Ver5.
Mariage et enfants
     "Vers 1055, il épouse Mélisende Caravicina de Monthléry, dite la Jeune, Chère Voisine ou encore Bonne Voisine, fille de Gui Ier, seigneur de Montlhéry, et d'Hodierne de Gometz, dont il a au moins trois enfants :
     "Le surnom de Bonne Voisine ou Chère Voisine donné à Mélisende de Monthléry peut s'expliquer par le fait les seigneurs de Monthléry sont également seigneurs de Bray-sur-Seine, dont les terres sont voisines de celles de Traînel6.
Confusion historique
     "Plusieurs historiens du xixe siècle ont confondu le fils aîné de Pons, Anseau, avec un autre Anseau qui sera seigneur de Traînel au début et au milieu du xiie siècle. Selon eux, Anseau aurait été le successeur de Pons comme seigneur de Traînel alors que son frère Garnier serait devenu seigneur de Pont-sur-Seine3,7.
     "Mais cela semble impossible. En effet, le troisième fils de Pons, Philippe, dit également Milon, devient évêque de Troyes en 1081 et doit avoir au minimum une vingtaine d'année (il sera évêque pendant quarante ans). L'historien Edouard de Saint Phalle émet l'hypothèse qu'il serait né vers 1058 et que ses parents se seraient mariés vers 1055. Il semble donc impossible que le fils aîné, né donc vers 1055, soit encore vivant en 1146 avec deux fils encore en âge partir pour les croisades. Il s'agit donc très probablement de deux Anseau différents, le premier étant probablement mort jeune. De plus, c'est le deuxième fils, Garnier, qui succède à Pons, car c'est lui et non pas Anseau qui est attesté comme seigneur de Traînel dans une charte de 10958.
     "De même, les autres enfants attribués à Pons par ces auteurs du xixe siècle, à savoir Comtesse de Traînel (citée comme témoin dans une charte de 1144 entre Norpand, abbé de Vauluisant et Héloïse, abbesse du Paraclet) et Gaucher de Traînel (moine à l'abbaye de Clairvaux vers 1151), ne peuvent donc être retenus car appartenant probablement à une autre génération8.
Articles connexes
** Comté de Champagne: https://fr.wikipedia.org/wiki/Comt%C3%A9_de_Champagne
** Maison de Traînel: https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_de_Tra%C3%AEnel
Bibliographie
** Henri d'Arbois de Jubainville, Histoire des Ducs et Comtes de Champagne, 1861.
** l'abbé Charles Lalore, Documents pour servir à la généalogie des anciens seigneurs de Traînel, 1870. Document utilisé pour la rédaction de l’article
** l'abbé Eugène-Edmond Defer, Histoire de Traînel, 1884. Document utilisé pour la rédaction de l’article
** Edouard de Saint Phalle, Les seigneurs de Traînel et de Venizy du XIe au XIIIe siècle, 2008. Document utilisé pour la rédaction de l’article
Notes et références
Notes
1. L'historien Edouard de Saint Phalle émet l'hypothèse que Déodat pourrait être un membre du clergé sénonais et un frère de Pons.
Références
1. Foundation for Medieval Genealogy [archive].
2. Racines et Histoire [archive].
3. l'abbé Charles Lalore 1870, p. 7.
4. l'abbé Eugène-Edmond Defer 1884, p. 272.
5. Edouard de Saint Phalle 2008, p. 273.
6. Edouard de Saint Phalle 2008, p. 274.
7. l'abbé Eugène-Edmond Defer 1884, p. 273.
8. Edouard de Saint Phalle 2008, p. 275."⁵

Reference: Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 155.⁸ EDV-27.

; Per Med Lands:
     "PONS de Traînel (-after Jun 1079). Seigneur de Pont-sur-Seine. "Ponce dominus Pontis castri" donated the church of Stabulis to Cormery, with the consent of "son épouse Caravicina et leurs enfants Anseu, Garnier et le troisième Philippe, qui s’appelle aussi Milon", by charter dated Jun 1079[375].
     "m MELISENDE de Montlhéry "Bona-vecina/Caravecina", daughter of GUY "le Grand" Seigneur de Montlhéry & his wife Hodierne de Gometz-la-Ferté (-27 Jun ----). The Historia of Monk Aimon names "Milonem de Brayo et Guidonem Rubeum, Comitissam quoque Reiteste, et Bonam-vecinam de Pontibus, Elizabeth etiam uxorem Joscelini de Corteciniaco, insuper dominam de Puisat, et dominam de S. Galerico" as the children of "Guidonem" and his wife[376]. "Ponce dominus Pontis castri" donated the church of Stabulis to Cormery, with the consent of "son épouse Caravicina et leurs enfants Anseu, Garnier et le troisième Philippe, qui s’appelle aussi Milon", by charter dated Jun 1079[377]. "Domnus Milo" confirmed the donation of "terram de Ver" to Notre-Dame de Longpont by "Milesendis cognomento Caravicina", by charter dated to [1095][378]."
Med Lands cites:

     GAV-27.

; Leo van de Pas cites: 1. The Plantagenet Ancestry Baltimore, 1975. , Lt.Col. W. H. Turton, Reference: 178, 197
2. Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: III 624.¹

     Agnès de Blois married Hugues III (?) Sire du Puiset, Vicomte de Chartres, Comte de Corbeil, son of Erard III (?) Sire du Puiset, Vicomte de Chartres and Adelaide de Corbeil Heiress of Corbeil, before 1104.^7,1,2,8,9

Agnès de Blois died after 1129.⁸
      ; Per Med Lands:
     "[AGNES (-after 1129). "Hugo Carnotensis vicedominus…et Agnes uxor eius" donated property by charter dated to [1100/04][199]. The origin of Agnes is uncertain. Dion comments that “on ne voit nulle part le nom de famille d’Agnès”[200]. Roger of Hoveden names [her supposed son] Hugues “Hugo de Puteaco thesaurarius Eboracensis ecclesiæ...regis Stephani nepos” when recording his appointment as bishop of Durham, dated to 1153[201]. If “nepos” in this passage can be correctly translated as nephew, she was the daughter of Etienne Comte de Blois et de Chartres and his wife Adela of England. Dion states that Henri I “le Libéral” Comte de Champagne donated property for the anniversary of his father by charter dated 1152 which names [Agnes’s son] “Ebrardus de Puteolo consanguineus meus”[202], which corroborates the existence of a relationship between the Blois/Champagne and Puiset families although the term “consanguineus” could include more distant connections. If she was the daughter of Comte Etienne, her marriage date indicates that Agnes must have been one of his older children. "Hugo vicecomes…et uxorem suam Agnetam, et filios Ebrardum atque Burchardum" donated property to Chartres Saint-Père by charter dated to [1101/29], with the consent of "comite Theobaldo"[203]. "Hugo Puteacensis vicecomes" donated property to the abbey of Sainte-Trinité de Tiron by charter dated 1129 witnessed by "uxore eius Agnete et filiis…Evrardo, Bucardo filiorum vicecomitis"[204].
     "m (before 1104) HUGUES [III] du Puiset Vicomte de Chartres, son of ERARD [III] du Puiset Vicomte de Chartres & his wife Adelaide de Corbeil (-Palestine 1132).]"
Med Lands cites:

Reference: Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: III 660.¹⁰

; Per Racines et Histoire: "Agnès de Blois (témoin dans une charte à la Sainte-Trinité de Tiron en 1129 ; dans une donation ~1100/04 ; & à Saint-Père de Chartres ~1101/29)
     ép. avant 1104 Hugues II du Puiset, vicomte de Chartres + 1132 (Palestine) (fils d’Erard III du Puiset, vicomte de Chartres, et d’Adélaïde de Corbeil.)⁵"

; Per Med Lands:
     "HUGUES [III] du Puiset (-[Palestine 1132]). "Hugo filius Ebrardi de Puteolo" donated property to the abbey of Saint-Martin des Champs with the consent of "patrui eius fratres patris eius…Hugo et Wido, Walerannus et Rodulfus" by charter dated 1109[83]. "Hugo de Puteolo…mater mea domina Aleidis" donated property to the abbey of Marcigny-sur-Loire by charter dated to [1108/1116] which specifies that she was a nun at Marcigny[84]. Seigneur du Puiset: "Walerannus de Villaperor" donated "terram...Alnetus...apud Stum Clodoaldum" to Saint-Martin-des-Champs, with the consent of “Wido qui tunc tenebat castrum Puteoli quia frater Waleranni erat”, the same document recording that after some time (“aliquanto tempore elapso”) “Hugo filius Ebrardi ad quem, paterno jure, predictum castrum Puteoli pertinebat” came to Saint-Martin and confirmed the donation made by “patruus suus” at the request of “domno Teobaldo priore et domno Gilduino fratre predicti Waleranni”, undated but dated to 1108 by the editor of the compilation[85]. This document also indicates that his paternal uncle Guy held Puiset during the minority of Hugues [III]. The following documents suggest a lengthy process of correction of persecution of religious establishments by the Puiset family: "Hugo vicecomes filius Ebrardi de Puteolo", recently released from the king’s prison (“noviter cum exisset de carcere regis”), swore allegiance to Chartres Saint-Père, foreswore the damage done by his predecessors, and was welcomed back into “nostre fraternitatis”, by undated charter presumably dated to the early part of the reign of Louis VI King of France[86]. King Louis VI confirmed the possessions of Chartres Notre-Dame “a Puteacensibus dominis oppressam” by charter dated 1111[87]. Vicomte de Chartres. Comte de Corbeil. A charter dated 1120 records that "Gualerannus de Villa Peror" had donated "terram...Alnetum" to Saint-Martin-des-Champs, with the consent of “Guido...de Puteaco frater eius et Hugo nepos eius filius Evrardi de Puteaco” (which refers to the 1108 charter quoted above)[88]. Suger records a last rebellion by "Hugonem Puteolensem" against the king who disinherited him[89]. Dion indicates that Hugues [III] made a series of religious donations (of which the following two extracts are representative) before departing for Jerusalem late in his life, although he suggests that “les exemples abondent pour prouver que souvent ces donations n’étaient qu’une vente déguisée”[90]. "Hugo vicecomes…et uxorem suam Agnetam, et filios Ebrardum atque Burchardum" donated property to Chartres Saint-Père by charter dated to [1101/29], with the consent of "comite Theobaldo"[91]. "Hugo Puteacensis vicecomes" donated property to the abbey of Sainte-Trinité de Tiron by charter dated 1129 witnessed by "uxore eius Agnete et filiis…Evrardo, Bucardo filiorum vicecomitis"[92]. Dion says that Suger records the death of Hugues [III] in 1132 “des suites d’un coup que dans une querelle de jeu un chevalier breton lui porta sur la tête avec le tablier ou damier sur lequel ils jouaient”[93]. The corresponding text in Suger has not been found.
     "m (before 1104) AGNES, daughter of --- (-after 1129). "Hugo Carnotensis vicedominus…et Agnes uxor eius" donated property by charter dated to [1100/04][94]. The origin of Agnes is uncertain. Dion comments that “on ne voit nulle part le nom de famille d’Agnès”[95]. Roger of Hoveden names [her supposed son] Hugues “Hugo de Puteaco thesaurarius Eboracensis ecclesiæ...regis Stephani nepos” when recording his appointment as bishop of Durham, dated to 1153[96]. If “nepos” in this passage can be correctly translated as nephew, she was Agnes, daughter of Etienne Comte de Blois et de Chartres & his wife Adela of England. Dion states that Henri I “le Libéral” Comte de Champagne donated property for the anniversary of his father by charter dated 1152 which names [Agnes’s son] “Ebrardus de Puteolo consanguineus meus”[97], which corroborates the existence of a relationship between the Blois/Champagne and Puiset families although the term “consanguineus” could include more distant connections. If she was the daughter of Comte Etienne, her marriage date indicates that Agnes must have been one of his older children. "Hugo vicecomes…et uxorem suam Agnetam, et filios Ebrardum atque Burchardum" donated property to Chartres Saint-Père by charter dated to [1101/29], with the consent of "comite Theobaldo"[98]. "Hugo Puteacensis vicecomes" donated property to the abbey of Sainte-Trinité de Tiron by charter dated 1129 witnessed by "uxore eius Agnete et filiis…Evrardo, Bucardo filiorum vicecomitis"[99].
     "Hugues [III] & his wife had three children."
Med Lands cites: She was living in 1129.¹

     Hugues III (?) Sire du Puiset, Vicomte de Chartres, Comte de Corbeil was born circa 1080.⁴ He married Agnès de Blois, daughter of Etienne (Stephen) Henri de Blois comte de Blois, Chartres, Châteaudun, Meaux, Provins et Sancerre and Adela/Adèle (?) de Normandie, Countess of Blois and Chartres, before 1104.^1,5,2,6,3

Hugues III (?) Sire du Puiset, Vicomte de Chartres, Comte de Corbeil died in 1132 at Palestine.^1,2,3
      ; Per Racines et Histoire: "Agnès de Blois (témoin dans une charte à la Sainte-Trinité de Tiron en 1129 ; dans une donation ~1100/04 ; & à Saint-Père de Chartres ~1101/29)
     ép. avant 1104 Hugues II du Puiset, vicomte de Chartres + 1132 (Palestine) (fils d’Erard III du Puiset, vicomte de Chartres, et d’Adélaïde de Corbeil.)⁷"

; Per Genealogics:
     "Hugues III was the son of Ebrard III, sire du Puiset, vicomte de Chartres, and Adelaide de Corbeil. On Crusade his father was killed about 21 August 1099 in Palestine.
     "Before 1104 he married Agnès de Blois, daughter of Stephen de Blois, comte de Blois et Chartres, and Adela of Normandy. Agnès was a sister of Stephen de Blois, king of England. Of their three sons only one, the eldest son and heir Ebrard IV, married and had progeny; Bouchard became archdeacon of Orléans and fathered at least one illegitimate son. The youngest son Hugues became bishop of Durham as well as earl of Northumberland and by Adeliza de Percy fathered three sons.
     "Hugues III was a notorious predator who terrorised wide areas of northern France. He fell out with Louis VI 'the Fat', king of France, over the inheritance of the county of Corbeil. Louis unsuccessfully besieged his castle of Le Puiset in 1111, 1112 and 1118; in the course of the third siege Hugues killed the leader of the besieging force, the king's seneschal Anceau de Garlande, comte de Rochefort, with a lance thrust.
     "Hugues retired to Jerusalem in 1128/9. In 1132 he died in Palestine."⁴

Reference: Genealogics cites:
1. Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: III 660.
2. Who's Who in Early Medieval England 1066-1272, 1996, Tyerman, Christopher. G. V. Scammell, Hugh du Puiset, 1956.⁴

; Per Med Lands:
     "HUGUES [III] du Puiset (-[Palestine 1132]). "Hugo filius Ebrardi de Puteolo" donated property to the abbey of Saint-Martin des Champs with the consent of "patrui eius fratres patris eius…Hugo et Wido, Walerannus et Rodulfus" by charter dated 1109[83]. "Hugo de Puteolo…mater mea domina Aleidis" donated property to the abbey of Marcigny-sur-Loire by charter dated to [1108/1116] which specifies that she was a nun at Marcigny[84]. Seigneur du Puiset: "Walerannus de Villaperor" donated "terram...Alnetus...apud Stum Clodoaldum" to Saint-Martin-des-Champs, with the consent of “Wido qui tunc tenebat castrum Puteoli quia frater Waleranni erat”, the same document recording that after some time (“aliquanto tempore elapso”) “Hugo filius Ebrardi ad quem, paterno jure, predictum castrum Puteoli pertinebat” came to Saint-Martin and confirmed the donation made by “patruus suus” at the request of “domno Teobaldo priore et domno Gilduino fratre predicti Waleranni”, undated but dated to 1108 by the editor of the compilation[85]. This document also indicates that his paternal uncle Guy held Puiset during the minority of Hugues [III]. The following documents suggest a lengthy process of correction of persecution of religious establishments by the Puiset family: "Hugo vicecomes filius Ebrardi de Puteolo", recently released from the king’s prison (“noviter cum exisset de carcere regis”), swore allegiance to Chartres Saint-Père, foreswore the damage done by his predecessors, and was welcomed back into “nostre fraternitatis”, by undated charter presumably dated to the early part of the reign of Louis VI King of France[86]. King Louis VI confirmed the possessions of Chartres Notre-Dame “a Puteacensibus dominis oppressam” by charter dated 1111[87]. Vicomte de Chartres. Comte de Corbeil. A charter dated 1120 records that "Gualerannus de Villa Peror" had donated "terram...Alnetum" to Saint-Martin-des-Champs, with the consent of “Guido...de Puteaco frater eius et Hugo nepos eius filius Evrardi de Puteaco” (which refers to the 1108 charter quoted above)[88]. Suger records a last rebellion by "Hugonem Puteolensem" against the king who disinherited him[89]. Dion indicates that Hugues [III] made a series of religious donations (of which the following two extracts are representative) before departing for Jerusalem late in his life, although he suggests that “les exemples abondent pour prouver que souvent ces donations n’étaient qu’une vente déguisée”[90]. "Hugo vicecomes…et uxorem suam Agnetam, et filios Ebrardum atque Burchardum" donated property to Chartres Saint-Père by charter dated to [1101/29], with the consent of "comite Theobaldo"[91]. "Hugo Puteacensis vicecomes" donated property to the abbey of Sainte-Trinité de Tiron by charter dated 1129 witnessed by "uxore eius Agnete et filiis…Evrardo, Bucardo filiorum vicecomitis"[92]. Dion says that Suger records the death of Hugues [III] in 1132 “des suites d’un coup que dans une querelle de jeu un chevalier breton lui porta sur la tête avec le tablier ou damier sur lequel ils jouaient”[93]. The corresponding text in Suger has not been found.
     "m (before 1104) AGNES, daughter of --- (-after 1129). "Hugo Carnotensis vicedominus…et Agnes uxor eius" donated property by charter dated to [1100/04][94]. The origin of Agnes is uncertain. Dion comments that “on ne voit nulle part le nom de famille d’Agnès”[95]. Roger of Hoveden names [her supposed son] Hugues “Hugo de Puteaco thesaurarius Eboracensis ecclesiæ...regis Stephani nepos” when recording his appointment as bishop of Durham, dated to 1153[96]. If “nepos” in this passage can be correctly translated as nephew, she was Agnes, daughter of Etienne Comte de Blois et de Chartres & his wife Adela of England. Dion states that Henri I “le Libéral” Comte de Champagne donated property for the anniversary of his father by charter dated 1152 which names [Agnes’s son] “Ebrardus de Puteolo consanguineus meus”[97], which corroborates the existence of a relationship between the Blois/Champagne and Puiset families although the term “consanguineus” could include more distant connections. If she was the daughter of Comte Etienne, her marriage date indicates that Agnes must have been one of his older children. "Hugo vicecomes…et uxorem suam Agnetam, et filios Ebrardum atque Burchardum" donated property to Chartres Saint-Père by charter dated to [1101/29], with the consent of "comite Theobaldo"[98]. "Hugo Puteacensis vicecomes" donated property to the abbey of Sainte-Trinité de Tiron by charter dated 1129 witnessed by "uxore eius Agnete et filiis…Evrardo, Bucardo filiorum vicecomitis"[99].
     "Hugues [III] & his wife had three children."
Med Lands cites:

     Hellie II de Wavrin Seneschall de Flandre married Felicie de Montmirail Dame de La Ferte-Gaucher, daughter of Jean I de Montmirail Chatelain de Cambrai and Helvide de Dampierre Dame de Somsois.^1,5

Hellie II de Wavrin Seneschall de Flandre died before 6 March 1223.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 23.¹

     Robert I de Wavrin Seneschall de Flandre married Sibylle (?) of Flanders, Heiress of St. Vaast, Lillers & Vladslo, daughter of Guy I (Pierre) (?) Cte de Nevers and Matilda/Mahaut (?) de Bourgogne, Dame de Montpensier, Comtesse de Grignon, Dame de Vitteaux, before 1193.^5,1,6,7,2

Robert I de Wavrin Seneschall de Flandre died in 1215; Racines et Histoire says d bef 1197.^1,2
      ; Leo van de Pas cites: 1. Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 23
2. Kwartieren Greidanus-Jaeger in Stamreeksen 1994, 's-Gravenhage., Mr. G.J.J. van Wimersma Greidanus, Reference: 458.¹

     Sibylle (?) of Flanders, Heiress of St. Vaast, Lillers & Vladslo was born in 1176.^1,2,3 She married Robert I de Wavrin Seneschall de Flandre, son of Helie I de Wavrin Seneschal of Flanders and Tirsella d'Arras, before 1193.^1,7,2,6,3

Sibylle (?) of Flanders, Heiress of St. Vaast, Lillers & Vladslo died after 1236.^1,2,3
      ; Leo van de Pas cites: 1. Stammtafeln zur Geschichte der Europäischen Staaten, 4 volumes, Marburg, 1953, 1975., W. K. Prinz von Isenburg, Reference: II 9
2. Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 23.¹

     Mathilde (?) de Flandres, abbess of Fontevrault was buried on 24 March 1194 at Fontevraud Abbey, Fontevraud-l'Abbaye, Departement de Maine-et-Loire, Bourgogne, France; From Find A Grave:
     BIRTH     1146
     DEATH     24 Mar 1194 (aged 47–48)
     Nobility. Born the youngest daughter of Thierry de Flandre and Sibylle d'Anjou. She became abbess in 1189 which she remained until her death.
     Family Members
     Parents
          Thierry de Flandre 1099–1168
          Sibylle d'Anjou 1112–1165
     Siblings
          Laurette de Flandre 1120–1170 (m. 1958)
          Philippe I de Flandre 1136–1191
          Mathieu de Flandre 1137–1173
          Marguerite I de Flandre 1145–1194
     BURIAL     Fontevraud Abbey, Fontevraud-l'Abbaye, Departement de Maine-et-Loire, Pays de la Loire, France
     Created by: Lutetia
     Added: 20 Jan 2013
     Find A Grave Memorial 103825222.⁶
     Reference: Genealogics cites: Stammtafeln zur Geschichte der Europäischen Staaten, 4 volumes, Marburg, 1953, 1975., W. K. Prinz von Isenburg, Reference: II 9.¹

; Abbess of Fontevrault.^1,3

     Baudouin (?) of Flanders died before 1154.^1,3
      ; Leo van de Pas cites: Stammtafeln zur Geschichte der Europäischen Staaten, 4 volumes, Marburg, 1953, 1975., W. K. Prinz von Isenburg, Reference: II 9.¹

     Reference: Genealogics cites: Kwartieren Greidanus-Jaeger in Stamreeksen 1994, 's-Gravenhage., Mr. G.J.J. van Wimersma Greidanus, Reference: 457.¹ Maria de Wavrin was also known as Maria van Wavrin.¹ She was living in 1217.¹

     Mathilda (?) de Lens married Roger III de Wavrin Senechal of Flanders, son of Roger II de Wavrin and Emissa (?) de Valenciennes,
; his 2nd wife.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 23.¹

     Helie I de Wavrin Seneschal of Flanders married Tirsella d'Arras, daughter of Anselme d'Arras, in 1177.^3,2

Helie I de Wavrin Seneschal of Flanders died in 1191 at Palestine.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 23.¹

     Tirsella d'Arras married Helie I de Wavrin Seneschal of Flanders, son of Roger III de Wavrin Senechal of Flanders and Mathilda (?) de Lens, in 1177.^1,3

      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 23.¹ Tirsella d'Arras was living in 1177.¹

      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 23.¹

     Hellin I de Wavrin Seigneur de Heudincourt et de Waziers died after 1193.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: VIII 24.¹ He was living in 1193.¹

     Andre de Montmirail Sire de la Ferte-Gaucher, seigneur de Montmirail married Hildiarde d'Oisy Vicomtesse de Meaux, daughter of Simon (?) Sire d'Oisy, Chatelain de Cambrai and Ada (?) de La Ferté-Ancoul (sous-Jouarre), vicomtesse de Meaux.^7,1,2
Andre de Montmirail Sire de la Ferte-Gaucher, seigneur de Montmirail married AliceAlix de Courtenay Countess of Angouleme, daughter of Pierre I Constantinople (?) Seigneur de Courtenay, de Tanlay, de Champignelles, etc. and Elizabeth de Courtenay, after 1169
;
Her 1st husband
Per Stewart email [2004]:
     "In a post of 22 October last year, in the thread 'Re: Isabel of Angouleme's mother, "Adalmues" de Courtenay' I wrote:     "The information I failed to remember was in volume 7 of _Histoire des ducs et des comtes de Champagne_ by Henri d'Arbois de Jubainville with Léon Pigeotte, 8 vols (Paris, 1859-1869). I no longer have access to this, but have found the details on p 176 of Nicolas Vincent's 'Isabella of Angoulême: John's Jezebel', _King John: New Interpretations_, edited by S.D. Church (Woodbridge, 1999).
     "Alix was married first (not secondly as I wrote before) to André of La Ferté-Gaucher, seigneur of Montmirail. Vincent places this "some time after 1169", but it was perhaps a very brief marriage from ca 1177/8 - ES XIII Tafel 139 (where Alix is not mentioned) states that his first wife Hildiarde d'Oisy, viscountess of Meaux, died shortly before 1177, and André himself was certainly dead by 1180.
     "Evidence for this marriage is in the obituary of the Hôtel-Dieu at Provins, written ca 1270, see _Obituaires de la province de Sens_, tome I, Diocèses de Sens et de Paris, edited by Auguste Molinier (Paris, 1902), part 2, p 967: "XV kal. [Januarii] Ob. Andreas de Firmitate Gaucheri, et Haymardus, comes Angolismensis, mariti quondam Aales, comitisse Angolismensis, que nobis multa bona contulit" (18 December, André of La Ferté-Gaucher and Aimar, count of Angoulême, former husbands of Alix, countess of Angoulême, who conveyed many endowments to us). Obits of deceased spouses were often commemorated together, regardless of their actual dates of death.
     "Vincent (loc cit, note 35) cites various charters of Alix, including two that she gave for the Hôtel-Dieu, one of which names her as lady of La Ferté-Gaucher - this lordship was apparently retained as her dower.
     "As discussed previously, Alix then married Guillaume, count of Joigny, by whom she had a son. This marriage ended in divorce, and she married thirdly Aimar of Angoulême."^8,2,9
Andre de Montmirail Sire de la Ferte-Gaucher, seigneur de Montmirail died before 1180.¹
      ; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 139.¹ EDV-26. Andre de Montmirail Sire de la Ferte-Gaucher, seigneur de Montmirail was also known as Andre Sire de la Ferte-Gaucher.⁸

     Hildiarde d'Oisy Vicomtesse de Meaux married Andre de Montmirail Sire de la Ferte-Gaucher, seigneur de Montmirail, son of Hélie de Montmirail Vicomte de la Ferte-Gaucher and Adelaide de Mareuil Dame de Bussy-Lettree.^1,7,2

Hildiarde d'Oisy Vicomtesse de Meaux died before 1177.^1,2
     EDV-26.

; Leo van de Pas cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 139.¹

     Simon (?) Sire d'Oisy, Chatelain de Cambrai married Ada (?) de La Ferté-Ancoul (sous-Jouarre), vicomtesse de Meaux, daughter of Geoffrey de Ferté-Ancoul Vicomte de Ferté-Ancoul and Constance de Vermandois, circa 1141.^4,2,5,3

Simon (?) Sire d'Oisy, Chatelain de Cambrai died before 1171.^2,3
      ; Per Racines et Histoire: "Simon d’Oisy + avant 1171 (1070 ?) seigneur d’Oisy, Châtelain de Cambrai (vaincu par le comte de Flandres)
     ép.~1141 Ada de La Ferté-Ancoul (alias de Meaux) vicomtesse de Meaux (fille de Geoffroi, vicomte de La Ferté-Ancoul (-sous-Jouarre) et de Constance de Vermandois."⁶

; Per Wikipedia (Fr.):
     "Simon d'Oisy (1115-1171), seigneur d'Oisy et de Crèvecœur, châtelain de Cambrai, vicomte de Meaux1.
Cri d'armes
     ""Crèvecœur et Oisy"
Histoire
** En 1135, Simon succède à son père pour l'ensemble des titres et possessions de ce dernier.
** En 1140, Simon reçoit de Saint Bernard une lettre très affectueuse dans laquelle il recommande à sa protection les moines de Vaucelles, et le prie de ratifier la donation faite par son père2.
** Avant 1145, il épouse Ade de Vermandois, dame de La Ferté-Ancoul/-sous-Jouarre et vicomtesse de Meaux, fille de Geoffroy sire de La Ferté-Ancoul (-sous-Jouarre) et vicomte de Meaux, et de la capétienne Constance de Vermandois.
** En 1150, Simon confirme les dons faits par ses ancêtres à l'Abbaye du mont Saint-Éloi.
** En 1151, il confirme les dons faits par les parents de sa femme aux moines de Saint Martin des Champs à Paris.
** En 1152, il confirme avec Ade, en tant qu'héritiers, une donation de son beau-père Geoffroy, comte de la Ferté-Aucourt à l'Abbaye d'Essommes3.
** En 1153, au cours d'un festin donné par l'évêque de Cambrai, en présence de son cousin Gilles, Simon se querelle avec Jean de Marcoing au sujet du château de Marcoing, récemment relevé par ce dernier. Si aucune effusion de sang ne fut constatée, ce fut cependant le point de départ d'une nouvelle brouille avec l'évêque de Cambrai, qui se clôturera en 1159 après un conflit concernant le Comte de Flandre, l'évêque de Cambrai et le sire d'Oisy.
** En 1158, il détruit la forteresse de Sauchy
** En 1160, Simon fait la remise à l’abbé de Saint Vaast, Martin, du droit de travers qui lui était dû dans l’étendue de ses domaines.
** En 1163, il confirme les donations faites à Ham.
** En 1165, il accorde aux abbayes de l’ordre de Cîteaux l’exemption de tout droit de vinage, péage, tonlieu, etc dans l’étendue de ses domaines et Ade fait une importante donation à l’Abbaye de Longpont.
** En 1166, Simon, châtelain de Cambrai, Ade et leur fils Hugues donnent à l’Hôpital de Jérusalem, pour la rédemption de leurs âmes, une rente à prélever sur leur revenu d’Oisy. Veuf d'Ade de Vermandois, il épouse N. de Gave, petite fille d'Eduin, comte de Ramerie
Généalogie
     "Simon d'Oisy est le fils de Hugues II d'Oisy (1075-1139), et de Hildiarde de Fiennes (1085-1167), dame de Baudoin, sœur de Conon de Fiennes4.
     "Marié vers 1141 à Ade de Vermandois, dame de La Ferté-Gaucher, fille de Geoffroy, sire de La Ferté-Gaucher, vicomte de Meaux, et de Constance de Vermandois (née vers 1089). Ce mariage l'apparente à Philippe d'Alsace, Comte de Flandre (car Philippe d'Alsace fut le mari de Mabille de Vermandois, fille de Raoul Ier de Vermandois. Raoul Ier et Constance étaient frère et sœur, enfants du capétien Hugues Ier dit le Grand et d'Adélaïde de Vermandois)
     "Il a pour descendants :
Querelle entre l'évêque de Cambrai et Simon d'Oisy7
     "En 1153, l’évêque de Cambrai, au retour d’un pèlerinage au tombeau de Saint Jacques de Compostelle, réunit dans un festin les princes seigneurs du pays. Simon d’Oisy, châtelain de Cambrai, Gilles, son cousin et Jean de Marcoing avec ses deux fils, assistaient à ce repas. Jean venait de relever sa forteresse de Marcoing, ce qui portait singulièrement ombrage au susceptible Simon d’Oisy. Celui-ci demanda au Seigneur de Marcoing de quelle autorité il avait construit ce fort qui le gênait : de l’autorité de l’évêque, lui fut-il répondu. Cette répartie, loin de le satisfaire, l’irrita même contre le prélat. Il le rendit solidaire de ce fait qu’il regardait comme un attentat à sa puissance seigneuriale et s’emporta au point que les fils de Jean prirent parti pour leur père d’une manière extrêmement violente. La seule présence de l’évêque empêcha que les dagues fussent tirées. Mais Simon d’Oisy conserva dans son cœur un projet de vengeance que les instances du prélat ne purent conjurer. Le comte de Flandre revenait d’une expédition en Normandie, Simon d’Oisy l’alla trouver et lui offrit de le reconnaître pour son souverain en lui faisant entrevoir qu’il ne serait pas impossible que tout le cambrésis en fit autant. Le comte hésita d’abord à accepter cette proposition déloyale mais bientôt l’ambition le tenta et il vint piller le château de Thun qui appartenait à l’évêque. De là, grande alarme dans Cambrai. On voulut négocier avec le comte qui n’accorda qu’une trêve de huit jours. Or la trêve expirée, l’évêque, pour se venger de Simon de la ruine de Thun alla de son côté attaquer avec ses vassaux et les troupes de la ville, le château de Noyelles qui appartenait au seigneur félon. Il en fut bientôt le maître et le livra aux flammes. Mais on aperçut l’incendie du guet d’Oisy et Simon accourut avec les troupes du comte de Flandre. Il surprit à son tour l’évêque et sa petite armée. La mêlée fut rude : l’évêque fut blessé et pris. On le relâcha par respect pour sa dignité. Cent hommes restèrent sur le champ de bataille. Enfin on fit trois cents prisonniers parmi lesquels étaient Jean de Marcoing et l’un de ses fils. C’est alors que Simon d’Oisy se souilla dans un acte de lâcheté et d’une brutalité inconcevable. Il n’eut pas plutôt aperçu son ennemi de Marcoing qu’il voulut le tuer et le blessa dangereusement à la tête. L’affaire en resta là, l’évêque s’en tira en donnant au comte de Flandre et à ses successeurs la châtellenie de Cambrai dont il dépourvut Simon et sa postérité. Le comte s’en tint pour satisfait fort ébahi de l’issue de son intrigue apprit que félonie appelle honte et préjudice. Le sire d’Oisy dont l’évêque avait fait son châtelain était presque aussi puissant que son maître autour de Cambrai. Néanmoins comme l’évêque n’avait pas commis la faute, pas plus que le comte de Flandre, d’inféoder à son châtelain la puissance militaire et judiciaire comme dans tout le comté du Plat-Pays, il put, à l’aide de ses autres vassaux du cambrésis, tenir en échec le puissant sire d’Oisy, et bientôt, grâce à l’intervention de ses voisins, le mettre hors d’état de nuire. Quelques mois de calme succédèrent à tous ces désastres.
     "En 1157, le comte Thierry, disposé à partir pour la Palestine, manda à tous ses vassaux de se trouver le douze mai à Arras. L’évêque de Cambrai s’en excusa, le châtelain Simon s’y refusa et rompit son hommage. Cette conduite irrita Philippe, fils de Thierry, qui était resté en Flandre. Ce jeune prince vint camper à Inchy le lundi 27 mai 1157, le pilla, ainsi que le château. Le lendemain il campa à Mœuvres et mit le feu à tout ce qui se trouvait à droite et à gauche jusqu’à Oisy, dont une partie fut brûlée, puis il licencia son armée. Il revint quelque temps après à Inchy avec infiniment plus de monde, attaqua le château qui se rendit le lundi 29 juillet 1157 après neuf jours de siège. La perte de cette forteresse, l’une des meilleures qu’eût Simon, lui fut fort sensible. Philippe ne s’en tint pas là : au mois de mai 1158, il assembla de nouveau ses troupes, en présence desquelles il fit bâtir le château de Sauchy pour tenir en respect la garnison d’Oisy et, à la fin de juillet, il repartit à la tête de son armée, dévasta les terres de Simon et forma le siège d’Oisy. Il dut se retirer devant la résistance de Simon plutôt que forcé par les pluies et la trahison. Simon d’Oisy était assez puissant à cette époque pour résister au comte de Flandre. L’hiver étant arrivé, il ne craignait aucun rassemblement en cette saison. Il devint agresseur en attaquant, le 28 décembre 1158, le nouveau château de Sauchy qu’il détruisit totalement. L’année suivante, 1159, Philippe entreprit une nouvelle expédition. Il fit le siège du château d’Havrincourt, qu’il leva, par amitié pour Gilles de Saint-Aubert, neveu de Simon, après avoir abattu un pan de muraille, il mit ensuite le feu aux environs et, le 22 juillet, il ravagea plusieurs villages, ainsi que les châteaux de Marcoing, Noyelles et de Cantin.
     "La paix se fit cependant en 1159, par la médiation de l’évêque, qui, oubliant tout ce que Simon avait fait contre lui, prit ses intérêts à cœur. Il fut conclu que le comte de Flandre recevrait en fief de l’évêque, la seigneurie d’Oisy et la châtellenie de Cambrai, qu’il les donnerait ensuite à Simon pour les relever immédiatement de lui. Cet accommodement se fit au mois de janvier 1160 et rendit la paix au pays qui en jouit pendant plusieurs années.
Notes et références
1. Par son mariage avec Ade de Vermandois
2. référencée comme la 186e lettre de St Bernard adressée en 1140 au Seigneur d’Oisy
3. Chartes et Donations tirées des archives de l’Abbaye d’Essommes
4. connue sous le nom de Hildiarde de Baudour, tante paternelle de Nicolas de Chièvres, évêque de Cambrai.
5. Dictionnaire Historique de la France, ludovic Lalanne, 1877
6. Comte & Châtelains de Cambrai, Etienne Patou, 2007
7. Extrait des chroniques de Cambrai."⁷

Reference: Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 139.⁵

; Per Med Lands:
     "SIMON d'Oisy (-before [1171]). The Gesta Pontificum Cameracensium (Gesta Burchardi I) names "Symon, castellani Hugonis filius"[395]. “Hugo castellanus de Cambray et dominus de Oisy” donated property to Saint-Eloi on the day “Willermus Biturniensis advocatus” married “Clementiam filiam meam”, in the presence of and confirmed by “filio meo Simone et filiabus Clementia, Matilde, Maria”, undated witnessed by “Willermus Bituniensis advocatus...”[396]. Châtelain de Cambrai. The Gesta Pontificum Cameracensium (Gesta Burchardi I) records the capture of Simon at Oisy by the count of Flanders[397]. "Symon Cameracensis castellanus" granted duty exemptions to the abbey of Saint-Amand, with the approval of "uxor mea Ada et Gilius filius meus", by charter dated 1156, witnessed by "Ade uxoris mee, Gilii filii mei, Hugonis filii mei, Heldiardis filie mee, Matheldis filie mee…"[398]. "Ada de Firmitate Ansculfi" donated property to "Radoliensis" monastery, with the consent of "domini Symonis sponsi mei vicecomitis Meldis…filiorum nostrorum Gilonis…et Hugonis et filiæ Matildis", by charter dated to [1160][399]. "Simon vicecomes Meldensis…etiam Ada vicecomitissa" donated property to "Radoliensis" monastery, for the soul of "filii nostri Gilonis", with the consent of "filii nostri Hugo et Petrus et filia nostra Heldealdis", by charter dated to [1164][400]. "Simon Firmitatis Ansculfi vicecomes et uxor mea Ada" donated property to "Radoliensis" monastery, with the support of "filiis et filiabus meis Hugone et Petro, necnon Heldiarde et Mathilde", by charter dated to [1165][401]. "Symon...dominus de Oisi filiusque meus Hugo" donated property to Ourscamp Notre-Dame, with the consent of “ceteri liberi mei Petrus...archidiaconus Cameracensis et Heldegardis et Mathildis, uxorque mea Ada, conjux que filii mei...Gertrudis”, by charter dated 1169[402].
     "m ADA de la Ferté-Ancoul, daughter of GEOFFROY Vicomte de la Ferté-Ancoul[-sous-Jouarre] & his wife Constance de Vermandois (-after [1171]). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis refers to (but does not name) the third of the daughters of "Hugonem Magnum [et] Adelaide comitissa Veromandensium" as wife of "Ioifrido de Firmitate-Galceri" and parents of "uxorem Simonis de Oisiaco"[403]. "Symon Cameracensis castellanus" granted duty exemptions to the abbey of Saint-Amand, with the approval of "uxor mea Ada et Gilius filius meus", by charter dated 1156, witnessed by "Ade uxoris mee, Gilii filii mei, Hugonis filii mei, Heldiardis filie mee, Matheldis filie mee…"[404]. Her parentage is indicated by the charter dated 1177 under which [her son-in-law] "Andreas dominus de Feritate Gaucherii" confirmed donations to Molesme made by "Gaucherius quondam dominus de Feritate Gaucherii…pro anima uxoris suæ Elizabeth…Elias filius eius"[405]. "Ada de Firmitate Ansculfi" donated property to "Radoliensis" monastery, with the consent of "domini Symonis sponsi mei vicecomitis Meldis…filiorum nostrorum Gilonis…et Hugonis et filiæ Matildis", by charter dated to [1160][406]. "Simon Firmitatis Ansculfi vicecomes et uxor mea Ada" donated property to "Radoliensis" monastery, with the support of "filiis et filiabus meis Hugone et Petro, necnon Heldiarde et Mathilde", by charter dated to [1165][407]. "Symon...dominus de Oisi filiusque meus Hugo" donated property to Ourscamp Notre-Dame, with the consent of “ceteri liberi mei Petrus...archidiaconus Cameracensis et Heldegardis et Mathildis, uxorque mea Ada, conjux que filii mei...Gertrudis”, by charter dated 1169[408]. "Ada Meldensium vicecomitissa" made her testament, for the souls of "mariti mei, Gilonis filii mei", with the consent of "filius meus Hugo Cameracensis castellanus…Petrus Cameracensis archidiaconus filius meus, Andreas de Firmitate Gaucheri et Heldiardis uxor sua filia mea", by charter dated to [1171][409].
     "Simon & his wife had five children."
Med Lands cites:

     Ada (?) de La Ferté-Ancoul (sous-Jouarre), vicomtesse de Meaux married Simon (?) Sire d'Oisy, Chatelain de Cambrai, son of Hugues II d'Oisy châtelain de Cambrai, seigneur d’Oisy et de Crévecoeur and Heldiarde de Mons, circa 1141.^1,3,8,9

Ada (?) de La Ferté-Ancoul (sous-Jouarre), vicomtesse de Meaux died after 1171; Per Med Lands:
     "ADA de Ferté-Ancoul (-after [1171]). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis refers to (but does not name) the third of the daughters of "Hugonem Magnum [et] Adelaide comitissa Veromandensium" as wife of "Ioifrido de Firmitate-Galceri" and parents of "uxorem Simonis de Oisiaco"[915]. Thibaut IV Comte de Blois confirmed the donation of property "apud Choisiacum" made to Saint-Martin-des-Champs by "Gaufridus vicecomes Firmitatis-Ansculfi et uxor eius Constancia" for the soul of "filii eorum Petri" after the death of the latter, with the consent of "Ada filia eorum", by charter dated to [1126/29][916]. A charter dated 1154 confirms variation donations, including the donation of "terræ…in territorio Marolii" to "monialibus de Colunnantiis" made by "Gauffridus vicecomes Firmitatis Ansculfi", with the consent of "Constantiæ uxoris suæ, filii sui Petri, filiæ Adæ"[917]. "Symon Cameracensis castellanus" granted duty exemptions to the abbey of Saint-Amand, with the approval of "uxor mea Ada et Gilius filius meus", by charter dated 1156, witnessed by "Ade uxoris mee, Gilii filii mei, Hugonis filii mei, Heldiardis filie mee, Matheldis filie mee…"[918]. Her parentage is indicated by the charter dated 1177 under which [her son-in-law] "Andreas dominus de Feritate Gaucherii" confirmed donations to Molesme made by "Gaucherius quondam dominus de Feritate Gaucherii…pro anima uxoris suæ Elizabeth…Elias filius eius"[919]. "Ada de Firmitate Ansculfi" donated property to "Radoliensis" monastery, with the consent of "domini Symonis sponsi mei vicecomitis Meldis…filiorum nostrorum Gilonis…et Hugonis et filiæ Matildis", by charter dated to [1160][920]. "Simon Firmitatis Ansculfi vicecomes et uxor mea Ada" donated property to "Radoliensis" monastery, with the support of "filiis et filiabus meis Hugone et Petro, necnon Heldiarde et Mathilde", by charter dated to [1165][921]. "Ada Meldensium vicecomitissa" made her testament, for the souls of "mariti mei, Gilonis filii mei", with the consent of "filius meus Hugo Cameracensis castellanus…Petrus Cameracensis archidiaconus filius meus, Andreas de Firmitate Gaucheri et Heldiardis uxor sua filia mea", by charter dated to [1171][922]. The Feoda Campanie dated [1172] includes “...vicecomes Feritatis Anculfi apud Gandeluz et a Tremes et Firmitatem Galcheri et Firmitatem Angolfi et apud Lisi…” in De Meldis[923].
     "m SIMON d’Oisy Châtelain de Cambrai, son of HUGUES [II] d’Oisy Châtelain de Cambrai & his wife Hildiarde de Mons (-before [1171])."
Med Lands cites:
      ; Per Med Lands:
     "SIMON d'Oisy (-before [1171]). The Gesta Pontificum Cameracensium (Gesta Burchardi I) names "Symon, castellani Hugonis filius"[395]. “Hugo castellanus de Cambray et dominus de Oisy” donated property to Saint-Eloi on the day “Willermus Biturniensis advocatus” married “Clementiam filiam meam”, in the presence of and confirmed by “filio meo Simone et filiabus Clementia, Matilde, Maria”, undated witnessed by “Willermus Bituniensis advocatus...”[396]. Châtelain de Cambrai. The Gesta Pontificum Cameracensium (Gesta Burchardi I) records the capture of Simon at Oisy by the count of Flanders[397]. "Symon Cameracensis castellanus" granted duty exemptions to the abbey of Saint-Amand, with the approval of "uxor mea Ada et Gilius filius meus", by charter dated 1156, witnessed by "Ade uxoris mee, Gilii filii mei, Hugonis filii mei, Heldiardis filie mee, Matheldis filie mee…"[398]. "Ada de Firmitate Ansculfi" donated property to "Radoliensis" monastery, with the consent of "domini Symonis sponsi mei vicecomitis Meldis…filiorum nostrorum Gilonis…et Hugonis et filiæ Matildis", by charter dated to [1160][399]. "Simon vicecomes Meldensis…etiam Ada vicecomitissa" donated property to "Radoliensis" monastery, for the soul of "filii nostri Gilonis", with the consent of "filii nostri Hugo et Petrus et filia nostra Heldealdis", by charter dated to [1164][400]. "Simon Firmitatis Ansculfi vicecomes et uxor mea Ada" donated property to "Radoliensis" monastery, with the support of "filiis et filiabus meis Hugone et Petro, necnon Heldiarde et Mathilde", by charter dated to [1165][401]. "Symon...dominus de Oisi filiusque meus Hugo" donated property to Ourscamp Notre-Dame, with the consent of “ceteri liberi mei Petrus...archidiaconus Cameracensis et Heldegardis et Mathildis, uxorque mea Ada, conjux que filii mei...Gertrudis”, by charter dated 1169[402].
     "m ADA de la Ferté-Ancoul, daughter of GEOFFROY Vicomte de la Ferté-Ancoul[-sous-Jouarre] & his wife Constance de Vermandois (-after [1171]). The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis refers to (but does not name) the third of the daughters of "Hugonem Magnum [et] Adelaide comitissa Veromandensium" as wife of "Ioifrido de Firmitate-Galceri" and parents of "uxorem Simonis de Oisiaco"[403]. "Symon Cameracensis castellanus" granted duty exemptions to the abbey of Saint-Amand, with the approval of "uxor mea Ada et Gilius filius meus", by charter dated 1156, witnessed by "Ade uxoris mee, Gilii filii mei, Hugonis filii mei, Heldiardis filie mee, Matheldis filie mee…"[404]. Her parentage is indicated by the charter dated 1177 under which [her son-in-law] "Andreas dominus de Feritate Gaucherii" confirmed donations to Molesme made by "Gaucherius quondam dominus de Feritate Gaucherii…pro anima uxoris suæ Elizabeth…Elias filius eius"[405]. "Ada de Firmitate Ansculfi" donated property to "Radoliensis" monastery, with the consent of "domini Symonis sponsi mei vicecomitis Meldis…filiorum nostrorum Gilonis…et Hugonis et filiæ Matildis", by charter dated to [1160][406]. "Simon Firmitatis Ansculfi vicecomes et uxor mea Ada" donated property to "Radoliensis" monastery, with the support of "filiis et filiabus meis Hugone et Petro, necnon Heldiarde et Mathilde", by charter dated to [1165][407]. "Symon...dominus de Oisi filiusque meus Hugo" donated property to Ourscamp Notre-Dame, with the consent of “ceteri liberi mei Petrus...archidiaconus Cameracensis et Heldegardis et Mathildis, uxorque mea Ada, conjux que filii mei...Gertrudis”, by charter dated 1169[408]. "Ada Meldensium vicecomitissa" made her testament, for the souls of "mariti mei, Gilonis filii mei", with the consent of "filius meus Hugo Cameracensis castellanus…Petrus Cameracensis archidiaconus filius meus, Andreas de Firmitate Gaucheri et Heldiardis uxor sua filia mea", by charter dated to [1171][409].
     "Simon & his wife had five children."
Med Lands cites: EDV-25.

Reference: Genealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 139.⁵

     Hélie de Montmirail Vicomte de la Ferte-Gaucher married Adelaide de Mareuil Dame de Bussy-Lettree, daughter of Jean (?) Vicomte de Mareuil et de Pleurs and NN de Ramerupt,
;
Her 1st husband.^7,8,9,4
Hélie de Montmirail Vicomte de la Ferte-Gaucher died before 1145.⁹
     ; Per Richardson:
     "Douglas Richardson Mar 26, 2006, 11:58:40 AM
     "Duke Heinrich of Bavaria & Saxony (nicknamed the Lion), died 1195, referred in a charter dated before ?1190 to his late kinsman, Friedrich II, Count Palatine of Saxony, Count of Sommerschenburg, founder of Marienthal monastery ["... quam pie memorie Frithericus palatinus, fundator ipsius coenobii, cognatus noster") [Reference: Die Urkunden Heinrichs des Löwen Herzogs von Sachsen und Bayern (Monumenta Germaniae Historica, 500-1500) (1941): 181-182].
     "Charting their respective ancestries, I find that three of Count Friedrich II's great-grandparents are unknown, which makes it difficult at best to be certain how the two men were related. Regardless, I find that one of Count Friedrich's great-grandparents, Bernard II, Count of Hövel, was in fact uncle to the ancestral line of Duke Heinrich. If this is the kinship intended, the two men were related in the 4th and 7th degrees of kindred, or if you prefer third cousins thrice removed, by virtue of common descent from Gerbege (or Guepa) of Burgundy, died 1018/9, but by different husbands, as charted below.

     "For additional information on Friedrich II, Count Palatine of Saxony, Count of Sommerschenburg (died 1162), see the following website:
http://www.genealogie-mittelalter.de/sommerschenburger_pfalzgrafen_von_sachsen/friedrich_2_pfalzgraf_von_sachsen_1162/friedrich_2_pfalzgraf_von_sachsen_+_1162.html
     "This post is part of a systematic, exhaustive study into the nature of kinship among high born medieval European families.
     "Best always, Douglas Richardson, Salt Lake City, Utah
     "Website: www.royalancestry.net“.¹⁰ EDV-27.

Reference: yGenealogics cites: Europäische Stammtafeln, J.A. Stargardt Verlag Marburg., Detlev Schwennicke, Editor, Reference: XIII 139.⁴

; Per Med Lands:
     "HELIE de Montmirail (-before 1145). “Gaucherio de Basoches, Helia de Montmirail, Guidone de Dampierre...” witnessed the undated charter (dated to [1140]) under which "miles...Robertus de Courtenont" donated "medietatem decimæ de Fresne" to Meaux Saint-Pharon with consent given by “Gaucherio de Castellione de cuius feodo res ipsa erat cum uxore sua Ada”[1131].
     "m as her first husband, ADELAIS de Pleurs, daughter of [JEAN Vicomte de Mareuil/MANASSES de Pleurs] & his wife --- de Ramerupt (-after 1170). There is some doubt about Adelais’s parentage. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis specifies that one daughter (unnamed, mentioned second) of "Andreas comes de Rameruth" married "Iohannes vicecomes de Maruel" by whom she had "Manassem de Plaierris et sororem eius, quam duxit Helyas de Monte-Mirail, de qua nati sunt Galcherus et Andreas et Hugo Prorulliensis abbas; defuncto vero Helia, nupsit domino de Monte-regali, cui peperit liberos"[1132]. However, the charter dated to [1150] quoted below indicates that her father was Manassès (assuming that “socer” can be translated in its strict sense of father-in-law). She married secondly (1145 or before) Anséric [I] Seigneur de Montréal. The date of her second marriage is set by the charter dated 1145 under which [her husband] "Ansericus de Monteregio" donated property to Pontigny, with the support of “--- uxor eiusdem Anserici”[1133]. The charter dated to [1150], under which “Ansericus Montisregii dominus” recorded an agreement between the monks of Pontigny and “dominum Manasserium socerum meum” relating to “prato...supra Marsegni” which the latter had claimed[1134], suggests that the Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis may be inaccurate in recording the name of Anséric’s father-in-law, assuming that “socer” can be translated in its strict sense. "...Ansericus dominus Montisregalis et uxor eius Adelaidis..." at the donation of land near “boscum domini Montisregalis” to Reigny abbey made by “Ivo de Avalone...”[1135]. "Ansericus de Monteregali…Ansericus filius eius…Johannes minor frater eiusdem et eorum mater Aalidis, Heluis filia eius" attested the donation to Reigny by "Ivo de Avalone" by charter dated 1164[1136]. “Ansericus dominus Montisregalis” recorded an agreement with Reigny abbey, with the consent of “Aalaydis uxor mea et Ansericus et Johannes filii mei et Sibilla predicti Anserici filii mei uxor”, by charter dated 1170[1137]. "Ansericus de Monteregali" donated property to the church of Notre-Dame de Montréal, for the soul of "Alaydis uxoris meæ" and with the consent of "Ansericus et Johannes filii mei et Sybilla predicti Anserici uxor", by charter dated 1170[1138]."
Med Lands cites:

; Per Med Lands:
     "ADELAIS de Pleurs (-after 1170). There is some doubt about Adelais’s parentage. The Genealogiæ Scriptoris Fusniacensis specifies that one daughter (unnamed, mentioned second) of "Andreas comes de Rameruth" married "Iohannes vicecomes de Maruel" by whom she had "Manassem de Plaierris et sororem eius, quam duxit Helyas de Monte-Mirail, de qua nati sunt Galcherus et Andreas et Hugo Prorulliensis abbas; defuncto vero Helia, nupsit domino de Monte-regali, cui peperit liberos"[541]. However, the charter dated to [1150] quoted below indicates that her father was Manassès (assuming that “socer” can be translated in its strict sense of father-in-law). The date of her second marriage is set by the charter dated 1145 under which [her husband] "Ansericus de Monteregio" donated property to Pontigny, with the support of “--- uxor eiusdem Anserici”[542]. The charter dated to [1150], under which “Ansericus Montisregii dominus” recorded an agreement between the monks of Pontigny and “dominum Manasserium socerum meum” relating to “prato...supra Marsegni” which the latter had claimed[543]. "...Ansericus dominus Montisregalis et uxor eius Adelaidis..." at the donation of land near “boscum domini Montisregalis” to Reigny abbey made by “Ivo de Avalone...”[544]. "Ansericus de Monteregali…Ansericus filius eius…Johannes minor frater eiusdem et eorum mater Aalidis, Heluis filia eius" attested the donation to Reigny by "Ivo de Avalone" by charter dated 1164[545]. “Ansericus dominus Montisregalis” recorded an agreement with Reigny abbey, with the consent of “Aalaydis uxor mea et Ansericus et Johannes filii mei et Sibilla predicti Anserici filii mei uxor”, by charter dated 1170[546]. "Ansericus de Monteregali" donated property to the church of Notre-Dame de Montréal, for the soul of "Alaydis uxoris meæ" and with the consent of "Ansericus et Johannes filii mei et Sybilla predicti Anserici uxor", by charter dated 1170[547].
     "m firstly HELIE de Montmirail, son of --- (-before 1145).
m secondly (1145 or before) ANSERIC [I] Seigneur de Montréal, son of HUGUES de Chacenay Seigneur de Montréal & his wife Helvide de Baudémont (([1119/23]-25 or 26 Jan 1174).]"
Med Lands cites: He was living in 1123.⁴